Le Ballon d’Or est un trophée remis par le magazine France Football depuis 1956. Il récompense le meilleur joueur du monde pour faire simple, d’abord jouant en Europe, puis n’importe où. Les français ont relativement brillé dans cette récompense, confidentielle jusque vers 1995, un trophée individuel, décerné par des journalistes ; dans un sport d’équipe, où les résultats sont validés sur le terrain, se devrait de rester anecdotique. De Kopa la France des années 1950 de Delon et Gabin à 2025, le Ballon d’Or est un roman. Un roman du génocide.
La trio magique européen, la France organique, 1958 à 1991
Le français de Pologne Raymond Kopaswewski – Kopa – le remporta en 1958, pour sa troisième place à la Coupe du Monde et sa victoire en Coupe des Clubs Champion. Vingt-cinq ans plus tard, le français d’Italie Michel Platini réussi l’exploit de le gagner trois fois d’affilée, 1983, 1984, 1985 ; le tout dans un relatif anonymat. Puis Jean-Pierre Papin fut le seul gaulois à remporter ce ballon en 1991 suite à ses papinades, ses buts incroyables pour Marseille et l’Equipe de France, ce qui ne bouleversa pas grand monde. La France blanche gagna donc cinq fois en trente-six éditions.
Comme pour l’économie, l’alliance de la France, du travailleur polonais slave et du phénicien italien ont donné un beau résultat. Pourquoi cela n’a pas continué avec les africains ?
Le triangle des Bermudes, depuis 1998.
Pour des raisons économiques et surtout idéologiques, il fut décidé de médiatiser à outrance, pendant des mois, cette remise de trophée n’ayant qu’une importance relative, voire nulle, seule compte la vérité du terrain, pas le jugement de journalistes. On donna huit breloques à Lionel Messi parfois usurpées. Les lauréats français de moins en moins français de cœur et de peau, gagnèrent de plus en plus d’argent, célébrés maintenant comme des idoles. Le quatrième lauréat français fut naturellement le berbère blanc algérien Zidane qui remporta son unique ballon d’or, en 1998, ses deux buts en finale de Coupe du Monde tuèrent tout débat. Zidane est avant tout un bourgeois, soutenant Macron contre la montée du fascisme de la négrolâtre Marine Le Pen, il marie un jour, un de ses fils à une bourgeoise madrilène qui fête Noel ; un autre choisi récemment de jouer pour la sélection algérienne car le niveau des maghrébins est devenu insuffisant pour l’Equipe de France de Football, ce qui induit un amour de la France relativement nul. Milliardaire, la famille n’est pas obligée de jouer pour l’Algérie pour manger. Zidane est notre quatrième lauréat et sixième Ballon d’Or ; déjà galvaudé.
Passons maintenant à la catégorie Ballon d’Or, ballon de plomb, avec Karim Benzema le cinquième larron au passeport français, en 2022, qui ne cache ni sa préférence pour l’Algérie, ni son comportement de racaille, les centaines de millions n’ayant pas pu faire quitter la zone à l’enfant de Trappes, l’affaire du chantage à la sex-tape montrant son incapacité mentale à quitter le quartier.
Mais ce soir historique, nous aurons le premier Ballon d’Or de l’Europe d’après, le sixième français Ballon d’Or, le musulman mauritano-sénégalo-malien, Ousmane Dembélé ; faisant soulever la Coupe d’Europe à sa femme maghrébine voilée le 30 Mai et leur bébé français, image magnifique ; ou le guinéo-marocain d’Espagne Lamine Yamal 70 de QI, remportera la soixante-quatrième édition du Ballon d’Or France Football. Le mondialisme en sortira largement gagnant, la Une du grand remplacement de l’Europe sera en couverture de tous les magazines des football dés le Mardi 23 Septembre. Dembélé est largement favori, des sportifs et des mondialistes ; le blanc devant être agacé et violenté par le maghrébin, avant que l’ensemble se termine dans un vaste Haiti européen, cinq à dix millions d’africains jeunes rentrant chaque année pour détruire un continent déjà vacillant et se reproduire avec toutes les blanches et maghrébines du continent. Lamine ou Ousmane ? De celtes à Haiti ? Alea jacta est.



