La Bretagne entre fascisme et communisme

Ou, la Bretagne entre mer et terre. L’actualité du lycée Fulgence Bienvenue, seul lycée polyvalent, donc le moins bon, de Loudéac, nous montre une réalité terre à terre à travers un fait divers. Le site du lycée est pourtant alléchant, et les 98 % de réussite au baccalauréat encourageants.

https://lycee-fulgence-bienvenue.fr/
L’impensable arriva pourtant dans le lycée de cette petite ville – 10 000 habitants – des Côtes d’Armor, qui, étant loin de la mer, n’attire pas les touristes, on est proche de la Bretagne profonde. L’invasion africaine atteint les villes de petites importances – par quel mystère des centaines d’africains ou de pakistanais vivent subventionnés à Loudéac ! -, après les centres urbains, avant le moindre hameau, il faudra vivre, ou survivre, avec les africains, qui nous exterminent, par leur seule présence, car devenant nos égaux en droit et surtout en prestations sociales, dés qu’il pose le pied sur le territoire de France ; le gaulois breton est condamné à mourir d’injection intraveineuse africaine, dans un jeu où il est biologiquement perdant, celui d’avoir de la nourriture et un logement en échange de simplement procréé, le tout dans un régime communiste où l’enrichissement devient presque impossible. Le plus étonnant est toujours la docilité avec laquelle l’aryen accepte la disparition de son peuple. Et la joie qu’il éprouve à vivre et à mourir en les subventionnant. Comment la plus brillante civilisation existante meurt par suicide lent ?

https://twitter.com/i/status/1969022051508764841

Mais il y eut des tentatives de survie. Durant la seconde guerre mondiale, le PNB, Parti National Breton essaya de construire une Bretagne nouvelle, indépendante de la France, existante dans une Europe des nations.

Une récente vidéo de qualité – pas trop à charge, laisse parler les deux camps, fasciste et communiste – montre l’histoire du mouvement fasciste breton de 1919 à 1944.


Le chef, Olier Mordrel, aujourd’hui assez méconnu, qui, vivant en bourgeois à Paris puis à Quimper, pu arriver à une conscience révolutionnaire – les pauvres n’ont jamais de conscience révolutionnaire ni de classe, occupés qu’ils sont à survivre – ; et fonda le journal Breizh Atao ! – Bretagne toujours -, en 1919, en réaction au massacre de 250 000 bretons durant la guerre 14-18 par la démocratie maçonnique française. Un parallèle peut être fait avec le parti social nationaliste allemand de Hitler. Mordrel ne put revenir en Europe qu’en 1971, Céline en 1951, pour donner une idée de son importance.

Olier Mordrel

L’étude de la collaboration et de la résistance en Bretagne méritera une plus longue étude – il n’y a pas les bons et les mauvais de l’autre, il y avait des bretons sincères, partant à Londres en Juin 1940 -, 98% des bretons s’en fichait. Il y avait 1 500 à 2 000 adhérents au Parti National Breton, dont 300 activistes, ce qui est fort peu sur 2.3 millions de bretons en 1940. Notons que l’Allemagne commença à promouvoir la langue bretonne par des émissions de radio, quand la République française fit tout pour la détruire en imposant le français. Autre point, il y a un numéro spécial Ouest France sur la ‘’ collaboration ‘’, un autre sur la ‘’ résistance ‘’, il est objectif de dire, si vous pouvez les consulter, que les photos où les bretons sont avec les allemands montrent amitié et retrouvailles, tandis que ladite résistance met en scène des pieds nickelés alcoolisés ; ce qui est normal bretons et germains sont frères raciaux, cousins germains, après deux mille ans de séparation ; la seule grande erreur de l’histoire de l’Europe étant le traité de Verdun en 843 selon Céline qui divisa un peuple et entraîna toutes les guerres suivantes ! Le talon d’Achille du breton, très intelligent car aryen est qu’il n’a pas conscience de sa supériorité intellectuelle ni de la nécessité de préserver sa race.

Quatre-vingt-ans plus tard, en 2025 le fascisme n’est qu’un souvenir pour les jeunes générations, 90% sont à gauche, adorant l’Afrique qu’ils ne connaissent pas encore bien, abrutis d’alcool, de produits chimiques, participant à des teufs toutes plus connes les unes que les autres, organisées par le pouvoir communiste afin de les maintenir dans l’idiotie. La Bretagne pourtant, hors grande ville, reste d’une blancheur qui fait mal aux yeux de l’usager du RER parisien. Si rien n’est fait toute la Bretagne sera une poubelle communiste dans vingt ans, Loudéac sera la norme partout, un prolongement du RER, une extension du Grand Paris.


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