Rugby, économie et wokisme. Marc Cécillon ou l’amour des femmes

Le rugby était depuis le XIème siècle jusque dans les années 1980 un jeu entre les villes et les villages du Sud, perpétuant la choule, jeu violent pratiqué en France. Il s’agissait d’emmener d’un village à l’autre une espèce de ballon. Comme toujours, les anglais ne firent qu’écrire des règles officielles, pour s’en approprier l’invention, et surtout, l’exploitation économique. Il s’agissait de rivalités entre villages, des paysans qui allaient se défouler la fin de semaine pour reprendre le travail le lundi. L’argent commença à arriver, les joueurs amateurs bénéficiaient d’emplois fictifs, bientôt la fin des haricots. La première Coupe du Monde eu lieu en Australie en 1987. Tout cela restait bon enfant, Serge Blanco – capitaine noir -, préparait tous ses matchs avec un cassoulet et un paquet de cigarettes. On était dans l’artisanat.

Ce qui devait arriver, arriva, le rugby devint professionnel en 1995, ce jeu de village devint une course à l’argent, la franc-maçonnerie dirigea d’une main de fer en France l’activité qui devint prétexte à des jeux d’influence locale. La fameuse troisième mi-temps magnifiée par les médias devint une parodie de camaraderie célébrée et filmée, comme l’apothéose, de ce qui n’était que l’alcoolisation du peuple déjà trop alcoolique.

D’un point de vue économique ce qui n’était qu’un jeu devint une manne économique. Les joueurs se changèrent en armoires de 120 kilos, faisant le 100 mètres en 12 secondes – engendrant de fait de lourds dégâts sur le cerveau, avec deux quintaux se percutant à 36 kms/heure – , gagnant salaires mirobolants et sortir de la misère, dans un pays en déclin – quand les Trente Glorieuses sont passées il ne reste plus que le con de sport pour s’élever économiquement et socialement -. Le peuple a les idoles qu’il mérite, quand il a des sportifs, blancs puis africains, la disparition est déjà là.

D’un point de vue mondialiste, le rugby joua son rôle en France, avec deux faits divers en la personne de Christophe Dominici et Marc Cécillon, deux braves garçons qui vingt ans avant ne seraient jamais sortis de leur village, sans la médiatisation et l’argent de la choule. Dominici était connu pour être fragile psychologiquement.

L’Equipe qui n’est qu’un énorme instrument de propagande hébraique visant à crétiniser l’aryen fit son travail subventionné par l’argent des impôts. Dominici a brûlé sa vie, le pauvre c’est un héros.


Marc Cécillon est un salopard de gaulois

La vérité est autre. Dominici était suicidaire depuis ses jeunes années, fragile, il n’aurait jamais dû avoir en charge le club de Béziers, l’arnaque dont il a été victime par un maghrébin fut la goutte d’eau qui a provoqué son suicide, laissant son enfant sans père. La société favorise la montée au pouvoir des défaillants, et subventionnant par exemple cinq millions d’handicapés dont la plupart sont imaginaires, quand elle détruit le producteur. Dominici devait être interdit de charges importantes.

Dominici et Cécillon, mariés et pères de famille ne firent que subir la modernité, devenir une star en jouant au rugby, donc faire des soirées sur les Champs-Elysées avec champagne et demoiselles allant avec. Dur de gérer cela pour un prolétaire, les putes de luxe plus que le champagne.

Cécillon qui vient du monde d’avant, fut victime de la féminisation putification générale de la société, qui ordonne à la femme, toujours conservatrice et soumise, d’humilier son mari quand il a des coups durs – tous les hommes ont des coups durs, la femme est là pour l’épauler, sinon il meurt -, quand bien même il a sorti sa Chantal de son village par son statut de star de rugby. Elle n’avait aucun besoin de travailler et de délaisser le foyer familial – elle était riche par son mari -, si ce n’est celui d’exhiber son corps quand son mari avait besoin de réconfort, quand il devait retourner au réel après quelques années de gloriole un peu trop alcoolisées.

On doit soutenir l’avocat Dupont-Moretti qui a défendu le héros Marc Cécillon. Elle pouvait simplement demander un discret divorce et partir avec la moitié de l’argent, tarif en vaginocratie. Elle a donc eu ce qu’elle cherchait inconsciemment. Un rappel à l’ordre cosmique. Cécillon pour 1000 ans. Marc Cécillon dans un monde inorganique n’a eu comme recours que le sacrifice public de sa propre femme pour rendre honorable son nom et sa descendance. Un acte courageux qu’il n’a pu commettre qu’avec 2.65 grammes d’alcool dans le sang. In vino veritas pour une fois. Une femme qui doit travailler ne doit jamais le faire de façon récréative, seulement par nécessité, comme une lavandière au mois de Janvier 1850, sinon c’est un crime contre l’homme, une émasculation publique. Mieux vaut faire hétaïre, seule activité respectable mais réprimée en France.

Cécillon est un vrai héros. En règle générale, cela se finit lamentablement par une paire de baffes, un ITT d’un mois, et du sursis avec interdiction idiote, une infantilisation de plus, avec pourquoi pas obligation d’acheter les séminaires de Stéphane Edouard pour savoir comment fonctionnent les femmes. Cécillon a rejeté ce monde ignoble hébraïque. Il a eu raison évidemment. Quand on accepte le début de ces lois, on finit par accepter vingt après, à la seconde génération, de payer une pension à sa femme pendant qu’elle se fait sodomiser par un Africain qui élève ses enfants, son nouveau compagnon avec qui elle aura des jumeaux.

Au rugby comme ailleurs, le pouvoir hébraïque encense le dysfonctionnel, la maladie mentale d’un Dominici ; et condamne le héros gaulois Cécillon refusant naturellement que sa femme ne devienne une femme publique, après avoir rempli sa fonction sacrée de génitrice. Ce ‘’ meurtre ‘’ est un geste sacrificiel de protection de son nom, de sa race, d’amour ultime envers sa femme. Tuer en public, rapidement, pour que sa femme reste respectable, est la plus belle preuve d’amour qu’un homme peut faire. La seule dont on ne peut douter. Eternelle et définitive. ‘’ Il n’y a pas d’amour, il n’y a que des preuves d’amour ‘’ Saint-Exupéry. Seul un blanc dégénéré peut y voir un acte répréhensible, si cela l’était, même un peu, TF1 et Netflix auraient fait une série. Preuve ultime s’il en fallait que le héros est Marc Cécillon.


Les milliers d’africains de Château d’Eau, n’importe quel vendeur de shit de Barbès, connaissent mieux les mystères de la femme que 95 % des blancs français soumis à la vaginocratie hébraïque. Personne ne doit oublier ce geste admirable. Il est presque certain que sa descendance glorifiera le nom de Marc Cécillon

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