Une image vaut mille mots

Il pourrait s’agir d’une photo comique, entre Groland et les Inconnus, avec vingt africains du paysage dans un café nommé Celtique, à Paris, ville où les Français ne peuvent habiter – 10 000 euros le mètre carré -, sauf en ayant beaucoup d’enfants et être en concurrence démocratique avec les Africains pour les logements sociaux. L’affiche ‘’ changement de propriétaire ‘’ achève la métaphore raciale, sachant que certains estiment que 30 % du parc immobilier parisien appartient aux juifs, quand l’essentiel des logements raciaux, dits sociaux dont dévolus aux Africains. Le Gaulois a peau de zob, recalé en lointaine banlieue, voire dépressive zone péri-urbaine quand le noir vit gratuitement avec ses 8 enfants.

Si on veut chipoter, il manque une croix chrétienne à côté du triskel celtique pour synthétiser deux mille ans d’histoire de France, balayée en quatre-vingts ans d’invasion africaine, par les nouveaux occupants.

Les historiens ne savent pas vraiment comment la première civilisation, mégalithe, installée sur le territoire a disparu 2500 avant Jésus-Christ – par génocide ou par retard technique avec les Celtes -, il reste 5 % du patrimoine génétique dans la Bretagne actuelle.

Par contre l’afflux de cette nouvelle population est totalement documentée et officielle. Le Français s’est battu vaillamment de toutes ses forces, depuis 80 ans contre le fascisme pour arriver à cette réalité biologique, les villes françaises sont africaines. Une victoire de la Démocratie et de la République. Il y avait 100 millions d’Africains entre 1500 et 1900, avant que la technologie blanche ne fabrique 1.3 milliards de M’Bappé. Il y a peut-être déjà 80 millions d’afro-maghrébins en Europe qui servent à gagner des Coupes du monde de football.

Le Français ne voulant pas d’un système social-nationaliste, proposé trop délicatement par la présence allemande de Mai 1940 à Août 1944, il choisit les jeans, le chewing-gum, puis de baiser tout le temps sans faire d’enfants, puis sanctifier le meurtre de fœtus gaulois, enfin quand les enfants naissent malgré tout comme par erreur, permettre que les assassins d’enfants fassent famille en prison. Tout frais payés. C’est pas avec l’unique enfant de Nordalh Lelandais que la France résistera au million de noirs jeunes entrant en France par année. Puis moins un enfant tué, plus un fait, ça fait toujours zéro. Ou moins quelque-chose, car l’enfant né est venu après l’enfant mort. Puis il risque quand même de se suicider quand il comprendra l’abomination dont il est issu. C’est pas encore facile à vivre d’être le fils de Nordalh et d’une frappadinguo. Qui sait dans quelques années avec le Progrès…

Le remplacement africain n’est qu’une conséquence logique d’un choix. Le 21 Avril 2002, le peuple de France a manifesté contre Le Pen, c’était magnifique l’union du peuple derrière SOS Racisme, pour l’invasion de 50 millions d’Africains et la disparition de son pays.

Ce bar Celtique se trouve dans l’endroit le plus remplacé de Paris certes certes certes, métro Barbès, il annonce le futur de la France déjà présent. Il faut aller dans des endroits reculés, où les logements pour africains n’ont pas encore été imposés pour vivre en France. Même là on croise souvent quelques enfants métis faisant la joie des riverains.

La démographie et l’arithmétique étant implacable, sans révolution on s’oriente vers 90 % d’africains ou races indéfinissables dans Paris d’ici 30 ans. Le Français fera-t-il sécession mentale puis physique, organisera-t-il des îlots comme les irréductibles Gaulois, où disparaitra-t-il dans l’Afrique comme un con en riant ?

Tout est religieux en dernier ressort. Le noir est la Passion française. Comment cela finira-t-il ? Dans quoi il ressuscitera le Français ?

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