Journal d’un prisonnier, de Nicolas Sarkosy. La messe semble dite

La rentrée littéraire n’intéresse plus grand-monde dans le pays de la littérature. Personne ne lit plus surtout les jeunes générations, il reste la seule vraie littérature, des essais hébraïques à l’usage du Gaulois en voie d’extinction, expliquant ce qu’il doit penser. Trois auteurs majeurs – au sens promotionnel – surnagent. Dans quel but ? Si on pense que la secte juive dirige tout, cela serait pour organiser les prochaines élections présidentielles de 2027, et la mobilisation pour la guerre contre la Russie.

Le 23 Septembre 2025, le juif d’Ariège Rochedy – Rushdy – sortait « Qui sont les Blancs ? », écrit par un nègre, Julien Rochedy n’a pas le niveau ; 332 pages. Cet essai invente une nature aryenne aux juifs, par le zoroastrisme. Personne n’avait osé il me semble.
Le 22 Octobre 2025, Zemmour sortit « La Messe n’est pas dite. Pour un sursaut judéo-chrétien », 126 pages pour 10 euros.
Ces deux livres dans l’arc républicain où l’imbécile de Gaulois vote représentent la droite et l’extrême droite à la sauce orientale, une réponse du kahal au ras-le-bol des Africains de France. Dans cet arc, il manque l’essai de gauche, celui de Sarkosy.

L’essai de Nicolas Sarkosy, 216 pages pour 21 jours de prison du vendredi 21 octobre au mardi 10 novembre 2025, soit 10 pages par jour d’incarcération, est sorti le 10 décembre. Les deux publiés chez Fayard, tenant les deux côtés du manche du couteau talmudique. Les deux ouvrages racontent la même chose, l’un est écrit par un séfarade intelligent, l’autre par le nègre d’un Ashkénaze.

NS fut condamné après treize ans d’enquête, pour association de malfaiteurs dans le cadre du financement de sa campagne présidentielle de 2007. Il s’agit du treizième ouvrage d’un homme de soixante-dix ans. J’ai plus parcouru que lu cette propagande pour la comprendre. Le livre est paru le 10 décembre, soixante jours après sa libération. Probablement un record. Rappelons que Sarkosy a été emprisonné pour financement de sa campagne victorieuse de 2007 par le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi ; qu’il a ensuite fait tuer – avec la coalition internationale -, dans le but d’accélérer la submersion de l’Europe. Le projet a fonctionné, l’Europe sera totalement africaine d’ici quelques années. NS a une part active dans l’africanisation de la France, Le Suicide français dont parle Zemmour.

Tout d’abord il y a le trajet jusqu’à la prison de la Santé qui lui rappelle son élection de 2007 avec tous les journalistes, puis sa souffrance lorsqu’on lui a retiré sa Légion d’honneur. La filiation avec le Colonel Dreyfus dégradé dans la Cour d’Honneur des Invalides est claire. Le goy doit finir par sanctifier les traîtres juifs, depuis 1789.

Les membres de l’administration pénitentiaire sont affables avec lui, c’est pour certains un évènement, surtout pour la représentante syndicale. Les femmes blanches n’ont rien à faire dans un univers brutal d’hommes africains, encore moins représenter le personnel, viennent de prosterner devant leurs maîtres, comme des bonnes femmes. La première nuit ‘’ la plus dure ‘’ se passe bien, heureusement pour notre héros.

NS découvre son lit « plus dur que du béton armé » dans sa cellule numéro 11. Heureusement, dès le second jour, sa femme Carla Bruni peut lui rendre des visites de cinquante minutes, tous les jours sauf le dimanche ; il a droit de plus à une heure de sport dans une salle privative, un téléphone fixe, une cellule individuelle de douze mètres carrés. Il passe sa soirée devant PSG – Bayern de Leverkusen, ce qu’il interprète comme un premier signe de la Providence : « Le miracle du calendrier fit que ce soir-là, il y avait un match du PSG diffusé sur Canal+ en direct de Leverkusen en Allemagne »La religion chrétienne n’est jamais loin. Et l’enculage du goy.

Le second jour il voit son avocat Jean-Michel Darrois une heure, et sa famille. Son avocat pleure. Une fois encore le livre se suffit à lui-même : « Sa sensibilité d’homme de gauche ne pouvait accepter que je subisse toutes ces violations brutales des règles d’un État de droit digne de ce nom : ma présomption d’innocence piétinée… » La première pleurnicherie enfin et le vocabulaire hébraïque à l’avenant, Etat de droit, présomption d’innocence.

Puis NS justifie et compare son régime de haute sécurité à « Georges Ibrahim Abdallah, terroriste d’extrême gauche condamné pour l’assassinat de deux diplomates américain et israélien. Visiblement cet individu et moi-même n’étions pas des détenus ordinaires… mais pas pour les mêmes raisons. J’avais la faiblesse de penser que les miennes étaient meilleures » Comme les chasseurs, il y a les bons et les mauvais, ceux qui servent et ceux qui s’opposent à Israël.

Vient le passage obligé sur la comparaison avec Dreyfus, la dégradation pour l’un ; la Légion d’Honneur enlevée pour l’autre, l’innocence toujours du peuple juif, pour arriver à la soumission des goyim. Il s’ensuit un long plaidoyer de gauche pour une justice plus clémente sur vingt pages que nous allons passer.

Enfin vient le troisième jour, le premier dimanche, jour sans visite. Mais pas sans religion. Heureusement, « Je craignais mon premier dimanche à la Santé. C’était un jour sans aucune visite, ni de la famille ni des avocats. La solitude complète… » Et, son fils Jean, converti au judaïsme pour pouvoir épouser la riche héritière Darty eut une idée, « Mon fils Jean eut l’idée de demander à l’aumônier de la prison de la Santé s’il pouvait me rendre une visite ». Grande idée de venir voir le catholique Sarkosy.

Finalement, la parole du Christ le touche en moins d’une heure : « Je commençais même à éprouver une réelle sympathie pour cet homme dont la bonté irradiait chacune de ses phrases. L’aumônier devient même son ami après avoir communié, c’est-à-dire, reçu et mangé l’hostie, symbole du corps christique, réservé à ceux ayant fait leur première communion ». L’IA dit que NS a fait sa première communion mais aucun document n’est disponible. Ils se verront comme deux vieux amis dimanche prochain, mais « Plutôt à 11 heures », lui précisa son nouvel ami.

Ensuite, un passage espéré mais toujours savoureux sur la Révolution page 87. Inutile encore de commenter ou de plagier le texte original : « Les révolutionnaires aux petits pieds se croyaient à la prison du Temple pour harceler le roi et la reine déchus. Il y aurait eu une guillotine en place de Grève comme au XVIIIe siècle, ils seraient venus se repaître du spectacle des têtes qui roulaient dans la boue au rythme des pulsions de folie meurtrière de Marat, de Danton et de Robespierre ». NS, en plus d’être Dreyfus, est le nouveau Louis XVI martyr du 21 Janvier 1793, les révolutionnaires étaient des méchants. A bas les nouveaux communistes antisémites, vive le Christ Roy habillé en Dreyfus.

Après une nouvelle pleurnicherie, on retourne au PSG, et au match du 25 septembre, avant incarcération, NS se rendit au Parc des Princes car il avait promis à un jeune malade de l’y amener. Acclamation du Parc, Africains footballeurs français millionnaires, ou saint hébraïque, le Français est prêt à tout supporter, tant que ce n’est pas gaulois, et que ça peut le tuer.

S’ensuit une ribambelle d’hommages et de visites, de Brigitte Macron à LFI, Darmanin, tout le personnel politique vient. Autre passage superbe, NS pleure sur l’injustice de l’emprisonnement de Boualem Sansal, autre agent de la CIA, au faciès impossible.

On essaye de choisir les passages importants mais on ne peut faire l’économie de passages vraiment poignants. « Je ne suis pas quelqu’un qui aime se plaindre, qui cherche à apitoyer ou à susciter la commisération ».

NS parvient à dormir 9 heures d’affilée, un record car il est fatigué physiquement et nerveusement. Sa migraine disparaît miraculeusement en prison.

La question de la visite de sa fille Giulia, sa fille de 14 ans, se pose avec la pudeur hébraïque attendue : « Elle réclamait avec insistance de venir me voir à la prison. Au début, nous étions avec Carla vraiment réservés. Était-ce un endroit pour elle ? » Chaque parloir quotidien est un ruissellement de sentiments huileux auxquels le Français prend part.

L’enfer vécu par NS durant trois semaines est celui d’un esthète : « Je suis un amoureux de la peinture. J’apprécie le beau ». Vient avant sa libération la troisième rencontre avec son ami aumônier, passage clé de l’œuvre, pour comprendre le message politique. L’avenir du pays ne doit pas être laissé aux communistes, c’est-à-dire aux Africains et Maghrébins détestant les Juifs, il doit revenir à la France catholique, c’est-à-dire aux Juifs qui pourront réguler les mauvais comportements avec l’appui de la bourgeoisie de droite qui représente encore une petite majorité fragile. Le passage est fabuleux, le point central de l’œuvre :

« Il avait été très choqué par la visite impromptue des deux élus de La France insoumise. « Pourquoi tant d’impudeur et de méchanceté s’interrogeait-il. Comme c’est étrange cette haine que vous suscitez. » Il en était sincèrement blessé et voulait me faire partager l’Évangile qu’il avait lu la veille lors de sa célébration. Il était tiré de Saint Matthieu : « Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des Cieux est à eux. Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous… Réjouissez-vous car votre récompense est grande dans les cieux ! »

NS est officiellement une sorte de Christ français.

Puis vient un long passage sur la dureté du métier de surveillant de prison, et la grandeur de la tâche. Alors que ce n’est qu’un métier de pauvre, devant s’occuper de toute la merde de la société, pour pouvoir manger. Le prochain président n’oubliera pas les fonctionnaires.

NS nous apprend qu’il ne mange que des laitages, céréales, eau minérale et jus de pomme car il craint que sa nourriture ne soit souillée par les autres détenus. Quelle étrangeté pour quelqu’un se disant aimé de tous. NS se trouve même à cantiner, le culot n’ayant aucune limite, on imagine bien un milliardaire ou multi millionnaire cantiner comme un mahorais arrivant de son bled. NS fait attention au coût de ses communications téléphoniques. Il voit avec bonheur que la nourriture hallal et casher sont disponibles. Toujours important que des violeurs et assassins de Gaulois puissent continuer leurs pratiques religieuses en prison, le tout payé par la famille des victimes. Pas à négliger. Et s’il peut se reproduire en prison le criminel africain, tant mieux.

La dernière semaine, tous les politiques du monde se pressent à la Santé ; Lula, le roi du Maroc, Milei, Trump, et même le rwandais Kagamé, par employés interposés. C’est émouvant. NS lit ensuite la Lettre à un otage de Saint-Ex, une lettre écrite à un Juif innocent durant la guerre, puis embraye sur un délire maçonnique de Mitterrand très réussi sur les forces de l’esprit. C’est toute l’histoire de France depuis Vercingétorix qui s’incarne en lui.


NS marche sur les pas de Dreyfus : « Je veux ma réhabilitation complète ». S’ensuivent vingt pages inintéressantes sur son combat contre Médiapart, autre officine de la CIA, son pesage – 70 kilos pour 70 ans -, des pommades antalgiques reçues, ainsi que des vingt bibles envoyées en prison, ce qui est possible. Ainsi que des sacs de courriers que sa cellule a du mal à contenir.

NS prend conscience des racines chrétiennes de la France en même temps que des forces de l’esprit dont se réclamait Mitterrand. Heureusement, sa camarade hébraïque Christine Lagarde pense à lui écrire depuis Sofia, où elle a réussi à prendre le temps de visiter l’église Saint-Nicolas : « Christine Lagarde, dont j’ignorais jusque-là les convictions religieuses, confiait dans son message qu’elle avait prié « pour la liberté, pour la justice, la vraie, et pour l’amour qui vous tient debout »


Nicolas et Christine, c’est comme saint Denis et Jeanne d’Arc en 2025, des saints acceptés. Le Journal d’un prisonnier est un livre religieux, un livre de Juif pour crétiniser encore plus, si possible, l’Aryen, qu’il aille voter encore une fois, jusqu’au cinquante millions d’Africains prochainement en France. Il s’inscrit dans la continuité des Misérables, 1862, ou un bagnard, forcément innocent, retrouve la liberté, le pardon de la société, et le soutien de l’église. Les témoignages d’anciens prisonniers, dont Alphonse Boudard, concordent sur le fait que l’image au cinéma du prisonnier n’a rien à voir avec la réalité, les prisonniers sont presque toujours extraits des plus bas-fonds de la société. Et irrécupérables. Même la famille Chirac, pas rancunière de la trahison de 1995, apporte son soutien au saint homme.

NS est heureux de ses échanges hebdomadaires avec le directeur de prison, un fonctionnaire ayant gravi les échelons. Voilà un message fort adressé aux vingt millions de fonctionnaires. Votez pour saint Nicolas, on ne vous oubliera pas.


Encore une pleurnicherie sur le refus de voir sa récente petite-fille, et sur un malheureux prisonnier qui a tenté de s’échapper depuis un hôpital. Heureusement Sébastien Chenu, soutien depuis 2007, lui manifeste son amitié.

Un nouveau message fort, le RN – qui est un parti de pédérastes avec une femme hébraïque à sa tête – n’est pas un danger. Feu vert, votez pour les pédérastes d’extrême droite, mais pas pour des antisémites africains.

On rappelle tous les tarés internationaux libérés par Sarkozy, de l’oligarque colombienne Bettencourt jusqu’à la petite trafiquante de drogue Florence Cassez, NS est une sorte de saint Louis, distribuant l’argent des Français à toutes les causes idiotes. Une petite larme pour 191% de taux d’occupation de la Santé sans évoquer l’origine raciale des détenus, les 10% aryens, ni le traitement de faveur qu’il a reçu.

Enfin vient sa libération, et une image en sortant de la prison : « Nous traversâmes la cour d’honneur dont la pente était inclinée à dessein. Autrefois, la guillotine y était installée, et le dénivelé permettait au sang de s’écouler. La barbarie ne néglige aucun détail. Cela ne me rendait pas ce lieu très sympathique ». Un rappel républicain sur la nécessité de ne pas tuer les pédophiles ou les tueurs en série n’est jamais de trop, les Africains qui tuent tous les jours des Aryens ne méritent pas de mourir. Il reste une dernière promesse à tenir, aller à Lourdes – il a lu le livre éponyme de Zola -, pour une association de malades.

Un livre religieux qui s’achève par ces mots qui ne veulent rien dire : « À la Santé, j’ai recommencé ma vie ». Recommencer pour ces gens-là signifie changer encore d’apparence pour continuer de détruire.

Conclusion

L’important est ce qui n’est pas dit dans cet ouvrage. Les élections présidentielles de 2027, il faut voter si possible pour des partis non antisémites ; et continuer l’importation de races à 70 de QI du monde entier, pour en finir définitivement avec la France blanche.

Le seul fait que tout cela soit possible, on parle d’un traître à la nation se faisant passer pour un saint avec l’approbation, ou le désintérêt de la population montre que la lutte sera très difficile.

Le livre s’inscrit dans la suite du misérabilisme inventé par Hugo en 1862 dans Les Misérables, les prisonniers sont innocents, il faut les libérer. En 163 ans, le règne des voleurs et des étrangers est presque total, notamment à travers la romantisation de Jean Genet, homosexuel et grand écrivain, qui ne voyait pourtant rien de glorieux dans ses actes. Hugo et ses maîtres ont provisoirement gagné.

Que peut-on légitimement espérer étant donné que la publication et la publicité de cette propagande n’ont reçu presque aucune opposition ? Rien, son lectorat bourgeois catholique se presse par centaines à la signature du livre dans le XVIème, quand on sait que personne ne vend plus de livres.

Le livre est le complément évident d’un autre livre religieux du Sépharade Eric Zemmour, La Messe n’est pas dite. Le français est sommé de choisir son Juif, la crapule vulgaire employé de la CIA, ou le raffiné Zemmour. Il apparaît bien comme l’avait prédit Céline, que quinze millions de Juifs sont en train de tuer cinq cents millions d’Aryens. Vu la file d’attente pour la signature de son livre, la question est vite réglée. Les pédérastes du Rassemblement National ont de beaux jours devant eux.

La triangle républicain et maçonnique est présenté au territoire France. Tu voteras pour le centre gauche et le candidat incarnant les idées du saint Sarkosy, ou pour celui de droite présenté par Zemmour. Tu peux même être raciste avec Rochedy. De toute façon, tu disparaîtras prisonnier de façon certaine dans l’Afrique, ou dans la guerre avec les Blancs de Russie.

Cette trilogie éditée en trois mois ne doit rien au hasard. Qui sont les blancs ?, peut-être seulement les juifs, La Messe est dite, pour les gaulois, et le Journal d’un prisonnier, ou des prisonniers autochtones dans leur pays, est trop limpide pour n’être que le fruit de cette analyse.

Ce Journal d’un prisonnier est une métaphore involontaire du Gaulois, dans son propre pays, aux mains d’une minorité, exterminé économiquement, et par les vaccins, l’invasion africaine, et peut-être bientôt la guerre.

On peut imaginer qu’Alésia en – 52 avant Jésus-Christ préfigura ce qui passe actuellement. Les gaulois assiégés durent rendre les armes, et 2 millions d’habitants sur une population estimée à 10, furent réduits en esclavage. Il ne resta que des isolats, en Bretagne notamment, pour résister. Le mythe d’une colonisation pacifique du monde gaulois, effectué en réalité par des italiens sémitisés depuis l’exil de Babylone, à la dent dure.

Pas du tout délirant, quand le livre sort, on met en garde à vue, des manifestants rendant hommage à Lola, la petite fille de 12 ans, violée, tuée et démembrée par une algérienne illégalement maintenue sur le territoire et toujours nourrie, logée et blanchie ; pendant que des hommages nationaux sont rendus à des délinquants africains morts en rencontrant la police. Le gaulois doit accepter le massacre de ses enfants et la disparition de son peuple sans se plaindre.

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