Resistance Computer Club est un média indépendant sur la tech et la politique.
Constat : La France se dirige vers une anarcho-tyrannie collectiviste : grand remplacement et collectivisme avec fiscalité agressive contre ceux qui font tourner le pays, qui sont le pays : les Gaulois. Face à cela donc, défense de la liberté individuelle, de la propriété privée, de ce qu’il y a de sain dans un certain libéralisme (ou libertarianisme) bien compris. Défense des technologies modernes (internet, privacy, crypto) en ce qu’elles peuvent être des outils de liberté contre l’État tyrannique et de progrès pour l’humanité. Et contre le grand remplacement et les diverses coteries étrangères qui contrôlent le pays : Nationalisme.
Il y a ce qui relève du combat, de la guerre… Et ce qui relève du travail, de l’économie… Deux aspects de la vie, présents en chaque être et dans chaque société, régis chacun par leurs propres règles et lois, et qui doivent être en équilibre, sans s’exclure ni se nier l’un l’autre. Une société régie excessivement par l’économie sombrera dans la ploutocratie, sera veule, lâche et décadente. Une société régie excessivement par le politique, c’est-à-dire par ce qui relève du combat, de la guerre, sera une société de caserne, qui ne produira pas de génie, pas d’innovation, pas d’architecture, pas d’art… Car la liberté créatrice qu’exige tout cela sera étouffée. Il faut donc un équilibre. Cependant, de ces deux aspects, lorsque les temps l’exigent, celui du combat, de l’Epée doit primer. Lorsque les Huns arrivent, que la Cité soit organisée de façon libérale, socialiste ou autre, n’a que bien peu d’importance. Il y a aussi ce qui relève de la foi, de la mystique, du spirituel, mais c’est un autre sujet…
Face à un pouvoir tyrannique, il est un devoir de lutter. Dans ce qui relève de l’échange, de l’économie, en faisant sécession, en s’organisant « en dehors », en utilisant tous les leviers possibles, comme Internet et les crypto. Et sur le plan de l’Epée, en faisant en sorte qu’une force se lève, une nouvelle élite, une aristocratie.
Dans notre histoire, la dernière fois qu’une force s’est levée, ce fut le fascisme. Forme moderne de Chevalerie. Nous prendrons généralement la définition du fascisme de Maurice Bardèche, c’est-à-dire non pas une doctrine rigide, mais une attitude de combat face aux enjeux et périls d’une époque. On n’est donc pas fasciste en tout et tout le temps, mais quand les temps nous imposent de l’être. Et on l’est pour défendre quelque chose qui le mérite, pour défendre une certaine conception de la vie et de la liberté. Selon cette définition, le fascisme c’est surtout un esprit, une volonté de s’élever contre la médiocrité, une sorte d’esprit aristocratique antique, mais que l’on cherche à diffuser le plus possible dans la masse. Ça consiste pour une nation à puiser dans son génie propre, à trouver dans son passé, dans son âme profonde, de quoi se redresser. Pour les Allemands ça a été la germanité, la légion romaine pour les Italiens, pour les Japonais un esprit samouraï… Et pour nous Français, ça pourrait être un néo-monarchisme inspiré de Chevalerie ?
« Fascisme » donc à comprendre dans un sens assez large, on dirait plutôt néo-fascisme aujourd’hui, ou simplement nationalisme.
Les fascistes avaient parfaitement identifié en leur temps le pouvoir des banques centrales et de ceux qui les contrôlent, comme aujourd’hui les sphères cypherpunk libertariennes l’ont identité également. Il y a donc des convergences que nous chercherons à explorer. Aussi, un des principaux ressort du fascisme était de faire front contre la barbarie bolchevique. Encore une convergence ? Tant le mondialisme occidental tend aujourd’hui vers une sorte de néo-communisme numérique.
Le propos et le ton de blog pourra varier en fonction des auteurs et de leur humeur du moment.
L’esprit dans ces colonnes sera résolument nationaliste au sens large, avec un intérêt particulier pour la tech et les crypto. Nous aurons un regard globalement positif sur les crypto, Bitcoin et Monero en particulier, nous intéressant en quoi elles peuvent être des outils de libertés positifs pour les enjeux d’aujourd’hui.
Ce blog se veut à l’image de ses membres, et s’intéresse donc aux thèmes suivants : politique, culture française, tech, crypto, fascisme et bon goût.
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Donc en résumé : nationalisme, tech et crypto.
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